Darfour:génocide par président soudanais .
Mais pourquoi, les pays africains, ne font-ils jamais rien pour empêcher les massacres dans les autres états africains. Pourquoi ne sont -ils pas capables de se réunir et de décider une bonne fois pour toute qu'ils faudraient se comporter normalement envers leur population. Et surtout inutile de me parler de la colonisation, cela fait assez longtemps comme ça qu'ils ont leur indépendance!! Ils auraient dû depuis tant d'années évoluer un peu!! J'espère que le tribunal internationale va être capable de juger tous ces dictateurs, aux mains souillées par le sang de leur peuple.
source le post:
Darfour: le président soudanais accusé de génocide C'est le procureur de la Cour pénale internationale qui veut faire comparaître Omar el-Béchir.
source le post:
Darfour: le président soudanais accusé de génocide C'est le procureur de la Cour pénale internationale qui veut faire comparaître Omar el-Béchir.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, a demandé lundi aux juges de la CPI d'émettre un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour "génocide" au Darfour (Soudan).
Il table sur une décision d'ici "2 à 3 mois", le temps pour les juges "d'analyser les preuves" et d'accepter la demande, la rejeter ou demander plus d'éléments. En attendant, la liberté de mouvement de M. Béchir n'est pas limitée.
De quoi l'accuse-t-on exactement ?
Selon M. Moreno-Ocampo, le génocide "a été décidé par Béchir lui-même" en ordonnant à ses hommes de "ne pas faire de blessés ou de ramener des prisonniers". Il l'accuse de meurtre, viol, extermination et déplacement forcés, notamment.
Selon le procureur, Béchir "a mobilisé l'ensemble de l'appareil d'Etat" pour "intentionnellement" mettre les 2,5 millions de déplacés dans "des conditions d'existence qui ne pouvaient qu'entraîner leur destruction physique".
Les armes du crime "les plus efficaces, sélectionnées par Béchir, sont le viol, la faim et la peur", les victimes, le plus souvent des femmes et jeunes filles réfugiées dans les camps, étant empêchées de trouver de la nourriture et violées lorsqu'elles tentent de sortir des camps pour s'en procurer, a accusé M. Moreno-Ocampo.
La crise au Darfour, c'est quoi exactement ?
Un conflit entre le Soudan et le Tchad qui a déjà coûté la vie à plus de 300.000 morts et entraîné le déplacement de 2,2 millions de personnes, selon l'ONU, 10.000 morts selon Khartoum.
Des réactions ?
Le Soudan a immédiatement rejeté ces accusations et a menacé d'une "réaction" si l'affaire était portée devant les Nations unies.
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a indiqué lundi qu'il attendait du Soudan qu'il "continue à pleinement coopérer" pour assurer la sécurité du personnel de l'ONU dans le pays.
A Paris, le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a appelé le président Béchir à "respecter" toute décision de la CPI.
Il table sur une décision d'ici "2 à 3 mois", le temps pour les juges "d'analyser les preuves" et d'accepter la demande, la rejeter ou demander plus d'éléments. En attendant, la liberté de mouvement de M. Béchir n'est pas limitée.
De quoi l'accuse-t-on exactement ?
Selon M. Moreno-Ocampo, le génocide "a été décidé par Béchir lui-même" en ordonnant à ses hommes de "ne pas faire de blessés ou de ramener des prisonniers". Il l'accuse de meurtre, viol, extermination et déplacement forcés, notamment.
Selon le procureur, Béchir "a mobilisé l'ensemble de l'appareil d'Etat" pour "intentionnellement" mettre les 2,5 millions de déplacés dans "des conditions d'existence qui ne pouvaient qu'entraîner leur destruction physique".
Les armes du crime "les plus efficaces, sélectionnées par Béchir, sont le viol, la faim et la peur", les victimes, le plus souvent des femmes et jeunes filles réfugiées dans les camps, étant empêchées de trouver de la nourriture et violées lorsqu'elles tentent de sortir des camps pour s'en procurer, a accusé M. Moreno-Ocampo.
La crise au Darfour, c'est quoi exactement ?
Un conflit entre le Soudan et le Tchad qui a déjà coûté la vie à plus de 300.000 morts et entraîné le déplacement de 2,2 millions de personnes, selon l'ONU, 10.000 morts selon Khartoum.
Des réactions ?
Le Soudan a immédiatement rejeté ces accusations et a menacé d'une "réaction" si l'affaire était portée devant les Nations unies.
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a indiqué lundi qu'il attendait du Soudan qu'il "continue à pleinement coopérer" pour assurer la sécurité du personnel de l'ONU dans le pays.
A Paris, le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a appelé le président Béchir à "respecter" toute décision de la CPI.