vidéo scabreuse pour l'Institut national du sport
La vidéo scabreuse qui embarrasse l'Institut national du sport .A QUELQUES SEMAINES du début des Jeux olympiques, l'affaire risque de faire des vagues...
Une ancienne pensionnaire de l'Insep (Institut national du sport et de l'éducation physique) a déposé plainte le 26 mars dernier pour atteinte à sa vie privée après la diffusion d'une vidéo la montrant en train d'avoir une relation sexuelle avec son ex-petit ami. *
Les faits remontent au printemps 2005 et se sont déroulés dans l'enceinte même de la fabrique à champions, implantée dans le bois de Vincennes à Paris.
Toujours traumatisée trois ans après les faits, la jeune femme vient donc de se décider à porter l'affaire en justice.
Dans la plus grande discrétion, deux athlètes sélectionnés pour les Jeux olympiques de Pékin (Chine) ont été entendus, en fin de semaine dernière, par les policiers de la 2 e division de police judiciaire de Paris. Un des deux hommes, membre de l'équipe de France de boxe et ex-petit ami de la victime, a reconnu, en garde à vue, être à l'origine de la vidéo scabreuse.
« Il a expliqué avoir fait entrer discrètement un comparse dans sa chambre avant d'avoir une relation sexuelle avec son amie, explique une source proche de l'affaire. Le complice était caché dans une armoire pour filmer la scène qui a été ensuite diffusée sur plusieurs boîtes mail de l'Insep. »
« Ils voulaient des faveurs sexuelles en échange de la non-diffusion »
Identifié, l'auteur du film, un jeune karatéka, également pensionnaire de l'Insep à l'époque des faits, a été entendu par les enquêteurs de la 2 e DPJ. « La fin de la vidéo a été retrouvée sur du matériel appartenant au suspect, poursuit la même source. Il a avoué sa participation aux faits. »
Filmée à son insu, la jeune femme a découvert l'existence de la vidéo d'une durée de cinq minutes en juin 2005. « Au cours de la nuit de la Fête de la musique, trois jeunes hommes, passablement alcoolisés, sont venus frapper à la porte de la chambre de la victime, âgée de 20 ans.
Ces derniers voulaient obtenir des faveurs sexuelles en échange de la non-diffusion de la vidéo, confie un proche du dossier. La victime a refusé et ils n'ont pas insisté. Une amie de la jeune sportive lui a ensuite expliqué qu'elle avait vu cette vidéo et qu'elle faisait le tour de l'Insep. »
Contactée hier, la direction de l'Institut a reconnu « avoir été informée de cette affaire ». « Nous savons que la victime a déposé plainte récemment, confie un proche de la direction. Nous apprécierons des suites à donner à ce dossier après avoir eu connaissance des éléments rapportés par la police et la justice. »
« Même s'il ne s'agit pas d'un viol, ma cliente l'a vécu comme tel, précise M e Thibault de Montbrial, l'avocat de la victime, aujourd'hui sortie du monde du sport de haut niveau. Pour le reste, je ne tiens pas à m'exprimer sur le fond de l'affaire. »
A l'époque des faits, la jeune femme avait déposé une main courante au commissariat du XII e arrondissement parisien. « Un certain nombre de personnes ont visionné cette vidéo avant qu'elle ne soit effacée, ajoute une source proche de l'enquête. Des investigations sont en cours pour en déterminer le nombre exact. » A l'issue de leur garde à vue, le boxeur et le karatéka ont été relâchés. L'enquête préliminaire se poursuit.
Mes commentaires: Mais pourquoi ne pas prendre des sanctions examplaires une fois pour toutes. Si rien n'est fait , je conseille à toutes ces femmes qui ne souhaitent pas voir des vidéos de ce genre difusées sur le net , de bien faire attention à leur fréquentations.
Car hélas, des" Types " aussi peu scrupuleux "grouillent" partout et n'ont aucun respect et peuvent nuire et briser n'importe qui!
Je sais hélas encore à notre époque, combien certaines personnes sont crédules ou confiantes, malgré toutes les mises en gardes possible.
Mais il est bien triste de voir dans notre société, des faits divers comme l'histoire d'une fillette de 10 ans violée par son frère et un copain de son frère après avoir regardé un DVD porno dans les Yvelines,